18 juillet 2009
Le coup de la panne, des mots à ne pas dire, par totaür
Il était là.
Mon héros depuis l’enfance.
J’en avais rêvé du jour où j’aurai la chance de jouir entièrement de sa présence.
A cet instant,
Délicieusement oppressée par sa tendre virilité,
Se souvenirs des mots à ne pas dire…
Pour éviter l’orage, après la sécheresse, qui aurait pu annoncer le début d’un hiver glacial.
Mais aussi.
Pour lui.
Mon héros.
Pour épargner sa fierté,
Sans laisser paraître le ruminement des efforts faits.
Frustration, corporellement partagée, de l’excitation passée.
Malgré lui.
Mon héros.
Pourtant,
L’humidité avait annoncé l’entrée dans un été d’une moiteur enivrante.
Désirs célestes ébranlés et renversés par les intempéries.
Mon héros.
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