[HS] Phallocraties parlementaires, par Erick G
Phallocratie parlementaire
Ce
soir mon amour pour elle sublime sa beauté
Et
ma femme n’a eu de cesse de m’échauffer
Quand
mon envie de cul atteint son apogée
La
mutine m’offre une séance de dos tourné
Soit
ma belle, tu dénies l’outrage de ma pine
Mais
le scintillement de tes yeux avelines
Tandis
qu’ils s’embuent d’une vénérienne fièvre
Trahit
une vérité que dédaignent tes lèvres
Vas-y
donc, fais la banquise, reste de glace
Mais
je sais si bien les caresses qui t’agacent
Qu’un
unique effleurement réveillera l’Erebus
Et
tes cuisses embrasées m’offriront ton hiatus
Tu
peux me traiter de goujat, de matamore
Mais
je sais que tu veux que je le mette à mort
Ton
petit con avide que je suis seul à combler
Alors
regimbe, farouche, je vais te débourrer
Après
l’avenir que par ces mots, je lui promis
Ma
langue s’évertue à d’autres chatteries
Tant
et si bien que s’ouvre la fémorale herse
Sur
un abysse gourmand qui me désire à verse
Et
voilà donc mon oiselle perchée sur son juchoir
Réclamant
de ses cris plus de coups de heurtoir
Car
la parcimonie cette nuit n’est plus de mise
Et
j’ahane sous l’empire de ma belle indécise